La Cie Corifée
lundi, août 03, 2009
jeudi, janvier 03, 2008
La compagnie
Josefina MURGUI,
Metteuse en scène, membre de la SSA.
Enseigne actuellement la Littérature espagnole.
Licence en Histoire de l'art.
Certificat de Dramaturgie et performance du texte à l'UNIL (2005/2006).
Sujet du mémoire: "Combat de nègre et de chiens" de B.-M. Koltès
Cofondatrice et metteuse en scène de El Núcleo, groupe de théâtre hispanophone de l'UNIL.
Traduction et adaptation de plusieures pièces de théâtre.
Laura POSSE
Actrice
Dernier spectacle: "Je crois en deux", Cie. Corifée, Célia
Formation: Ecole de théâtre des Teintureries (Lausanne)
Cofondatrice de Corifée, bilingue espagnol/français.
Maman d'un petit Alan.
C.V.: www.comedien.ch
samedi, avril 28, 2007
jeudi, octobre 19, 2006
LA PRESSE, LES MEDIAS
Samedi 20
Bons plans
Je crois en deux
THÉÂTRE | 11h06 L'éternel quête du bonheur, de ces jours meilleurs qui n'arrivent pas. Avec humour! On se croirait dans une pièce de Beckett. A Pully jusqu'à samedi.
18 Octobre 2007 | 11h06
La compagnie Corifée présente cette pièce forte où les protagonistes féminines semblent être issues du théâtre de Beckett et symbolisent l'éternelle quête de jours meilleurs. 50 ans après Godot, les questions restent sans réponse.
>Café Théâtre de la Voirie, Pully, 20h30
http://www.tvrl.ch/web/play_inforegion2.asp?RESOLUTION=H&fichier=http://stream.vaudtv.ch/tvrl/2007_05_31_25618.flv&lecteur=flv
2006
Notre blog: http://www.blogg.org/blog-36018-themes-65117.html
Tiré du film de David Trueba.
Adaptation au théâtre et traduction de l’espagnol : Josefina Murgui
Avec :
Vincent DAVID
Ludovic MARTIN
Laura POSSE
Mise en scène, costumes : Josefina MURGUI
Régie, décors : David TACHERON
Son, vidéo : Bonat TSOUNGUI
Film : François de Sury. TV Bourdo.net
UN CHEF-D'OEUVRE A L'AFFICHE
Communiqué de presse:
Le « Chef d’œuvre » de la compagnie Corifée est une comédie sarcastique, ironique, parfois cruelle.
Cette satire mordante s'attaque ainsi au starsystem, en montrant les monstres qu'il engendre : une vedette coupée du monde et, en face, des fans qui ne distinguent plus la ligne de séparation entre réalité et fiction.
Tiré de « Obra maestra » du cinéaste Espagnol David Trueba, la version théâtrale que propose notre metteuse en scène permet une interaction riche entre film et art de la scène. Mieux, elle propose un cercle vertueux éclairant : le théâtre raconte le cinéma, en s'appuyant sur un cinéma qui lui-même use de théâtralité, qui elle-même…
Avec ses dialogues au rythme infernal, ses répliques féroces, incisives et cruelles, « Chef d'oeuvre » frise souvent, comme toute grande oeuvre, le politiquement incorrect. Ce qui ne l'empêche pas d'être drôle et touchante.
La fin ? Il n'y a pas de happy-end… Pas si sûr… L'auteur lui-même semble hésiter…
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